Le temps est couvert, on décide d’aller tout de même voir le Vésuve. On arrive parmi les premiers sur le site à 10h30, le bus du retour étant à 13h30, pas d’autre choix. La montée dure ½ h. Ce jour-là, il y a un marathon, nous devons souvent nous arrêter pour laisser passer les coureurs. Par chance, le cratère et ses quelques fumerolles sont bien visibles, quelques trouées laissent parfois passer un rayon de soleil.
On ne peut marcher que sur un quart des crêtes du cratère, on termine donc à 11h30, plus que 2h à attendre… on reste sur notre faim, on s’attendait à un site plus spectaculaire, rien de transcendant. On trainaille, on redescend tout doucement, on ramasse des cailloux, on croise des dizaines et des dizaines de touristes, c’est ahurissant… Sur le parking règne un capharnaüm incroyable. Des dizaines de bus arrivent, empêchant les autres de partir, la foule est dense. La police est obligée d’intervenir pour réguler la circulation. Mais c’est quoi cette organisation sur un lieu touristique comme ça ?? Certains touristes, fraîchement débarqués des paquebots de croisière, arrivent en tongs, en robes de plage alors qu’il fait froid et humide...
On ne peut marcher que sur un quart des crêtes du cratère, on termine donc à 11h30, plus que 2h à attendre… on reste sur notre faim, on s’attendait à un site plus spectaculaire, rien de transcendant. On trainaille, on redescend tout doucement, on ramasse des cailloux, on croise des dizaines et des dizaines de touristes, c’est ahurissant… Sur le parking règne un capharnaüm incroyable. Des dizaines de bus arrivent, empêchant les autres de partir, la foule est dense. La police est obligée d’intervenir pour réguler la circulation. Mais c’est quoi cette organisation sur un lieu touristique comme ça ?? Certains touristes, fraîchement débarqués des paquebots de croisière, arrivent en tongs, en robes de plage alors qu’il fait froid et humide...
Avec une demi-heure de retard, notre bus arrive enfin, et nous mettrons 2h à rentrer à Naples car le trajet retour se fait en fonction de la destination des personnes, ce qui n’était pas du tout prévu.
Nous flânons cette fois dans le quartier historique et ses innombrables églises, chapelles, paroisses. Vie grouillante ici aussi, plus populaire quand on s’éloigne du centre névralgique.
Un gars en scooter se fait arrêter par la police, curieuse de ce que contient le sac de sport qu’il transporte. Et là, tous les jeunes en scoot qui aperçoivent la scène rebroussent chemin, avertissant les copains, tout le monde est au balcon, attendant l’issue de l’interpellation.
Un gars en scooter se fait arrêter par la police, curieuse de ce que contient le sac de sport qu’il transporte. Et là, tous les jeunes en scoot qui aperçoivent la scène rebroussent chemin, avertissant les copains, tout le monde est au balcon, attendant l’issue de l’interpellation.
Retour tranquillement à l'hôtel.
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