28 Sept 17 : QUITO

Aujourd'hui,  il nous faut rendre la voiture. Nous craignions la mauvaise surprise comme trop souvent avec les loueurs de voiture. Finalement, tout se passe bien, il faut juste payer 2 petites décorations des jantes que l'on nous a volées. Pas une égratignure, on s'en sort bien. Au final, on n'a aucun regret d'avoir pris une voiture, la conduite des équatoriens est tout à fait normale. Il faut juste intégrer 2 choses : l'utilisation du clignotant est exceptionnelle, et quand, sur une double voie, on est sur une file, on y reste, quitte à doubler sur la droite. Ici, par précaution, le klaxon sert plus que la normale !  
Ce qui est sport, c'est de prendre le bus... faut s'accrocher.... il faut presque les attraper au vol, et quand on descend,  on n'a pas droit à l'erreur, au risque de se faire renverser comme on l'a vu avec une mamie et sa petite-fille. Pas de sentiments, ils repartent à l'assaut de la route. Dans les bus, des vendeurs (surtout de sucreries) de toutes sortes défilent. 
Une fois la voiture rendue et comme il pleut, on décide d'aller à la Mitad del Mundo (moitié du monde), monument dédié à l'Équateur, site très touristique mais qui nous occupera vu la météo. Nous avons tout de même vu une exposition admirable de photos de montagne d'un photographe équatorien. 

Le temps se lève, on va voir le cratère du volcan Lululahua au creux duquel vit une communauté. On reste sur la crête et on repart sur Quito en bus.
Sur le chemin, vu que le soleil arrive, on prend le téléphérique qui nous amène à 4050 m d'altitude pour une vue imprenable sur Quito qui est à 2800 m. La vue est superbe. Quito s'étend sur 15 km d'Est en Ouest, et 80 km du Nord au Sud selon les dires du chauffeur de taxi. On a de là-haut un aperçu de l'urbanisation massive de cette ville "emprisonnée" par montagnes et volcans. Vu l'heure tardive, nous redescendrons assez vite. Impossible de nous rendre sur le volcan Pichincha.



Il est 4h et on n'a toujours pas mangé, on profite un maximum de nos dernières heures. On grignote des empañadas. Direction le quartier historique de Quito. On récupère notre commande faite auprès de German (symbole pré colombien gravé sur une plaque en bronze sur laquelle il appose devant nos yeux son sceau) dans la Calle Ronda, la rue coloniale la plus ancienne de Quito.On parcourt des rues qu'on n'avait pas vues à notre arrivée. Le soleil commence à se coucher. On rentre dans un magasin, on ressort il fait nuit noire !   


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