Après une excellente nuit dans le petit
hôtel La Casa Cuencana, petit déjeuner sur le marché "10 de augusto", composé d'un jus de fruit
(carotte / orange), d'un pain au chocolat, d'une tortilla de maïs et d'un
semblant de café très très léger comme trop souvent, en poudre bien entendu.
Déambulations dans le marché où les
odeurs sont parfois écœurantes. Du petit matin à la fin de l'après-midi, on
sert du cochon, du poisson, toutes sortes de soupes, des œufs, du maïs sous
toutes ses formes, des tortillas, des empañadas... il y en a pour tous les
goûts. Présence également de produits que nous voyons pour la première fois,
comme cactus, aloe vera, herbes et plantes médicinales, chocolat à l'état brut.
Au 1er plan à gauche, du poisson salé, à droite du sel marin, au fond, des pains de sucre de canne 100 % naturel. |
Chocolat à l'état pur |
La ville est plutôt belle, style colonial et tranquille. Par chance, on trouve enfin un bar qui fait des expressos ! On le savoure !
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Ces personnes parlent à une personne d'église qui se trouve derrière ce tourniquet, où sont déposées les offrandes en échange des bonnes paroles. |
On file ensuite sur des villages aux alentours, histoire de retrouver l'ambiance champêtre qui nous manque déjà. Premier arrêt à San Bartolome, tout petit village aux maisons en torchis.
Arrêt au petit bourg de San Bartolome.
Puis Sigsig, village où se fabriquent les panamas avec la toquilla, herbes en provenance de la Côte Pacifique. Ils font sécher les brins en les étalant sur le sol ou sur des fils. Il n'est pas rare de voir les femmes tisser les chapeaux sur les marchés, en marchant, en blaguant avec les copines, tout naturellement. On discute un bon moment avec une dame dont le métier est de les réparer, son atelier et son matériel sont dignes d'une autre époque.
Enfin, Chordeleg, gros bourg dont la
spécialité est l'orfèvrerie. Il y a pléthore de magasins tout autour de la
place principale, tous plus kitsch les uns que les autres. On leur préfère un
petit magasin de poteries faites maison.
Puis Sigsig, village où se fabriquent les panamas avec la toquilla, herbes en provenance de la Côte Pacifique. Ils font sécher les brins en les étalant sur le sol ou sur des fils. Il n'est pas rare de voir les femmes tisser les chapeaux sur les marchés, en marchant, en blaguant avec les copines, tout naturellement. On discute un bon moment avec une dame dont le métier est de les réparer, son atelier et son matériel sont dignes d'une autre époque.
Retour à Cuenca pour la dernière nuit
avant de rejoindre la côte Pacifique en passant par le Parque Nacional El
Cajas, et ce soir, c'est ripailles ! Après quelques jours de disette
alimentaire, on s'octroie un bon petit asado argentin accompagné d'un petit
rouge à tomber ! L’occasion aussi de mettre à jour blog et carnet de voyage.
ZZZZZZZZZZZZ.................
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